top of page
Photo du rédacteurYaël Catherinet

Il fut un temps..


Extrait de : "𝕃𝕖 đ•Ąđ•–đ•„đ•šđ•„ 𝕝𝕚𝕧𝕣𝕖 𝕕𝕩 đ•—đ•–Ìđ•žđ•šđ•Ÿđ•šđ•Ÿ đ•€đ•’đ•”đ•Łđ•–Ì"

IL FUT UN TEMPS...

Il fut un temps lointain où les premières femmes étaient les grandes prêtresses des sociétés naissantes, où la spiritualité féminine, sagesse des cieux, délivrait les connaissances des mystères et du sacré. Cultes, cérémonies et initiations spirituelles étaient dédiés à la figure de la Déesse, la Grande Mère. Au cours de l’histoire de notre humanité, diverses écoles initiaient des profanes autour des cultes de la Déesse, comme les mystères d’Éleusis, fêtes en l’honneur de la déesse Déméter et sa fille Perséphone ou le culte de Kali, pratiqué dans certaines régions de l’Inde et qui existe encore de nos jours.

Les origines spirituelles de la « Grande Déesse » remonteraient à la Préhistoire, là où le corps féminin était divinisé car doué du pouvoir magique d’enfanter.

Avec le temps, l’histoire de la Grande Déesse a voyagé, surtout autour du bassin méditerranéen et jusqu’en Asie mineure. Le mythe a pris mille et un visages et le féminin sacré s’est incarné dans de nombreuses figures :

Inana chez les Sumériens

Isis en Égypte antique

Cybèle chez les Grecs et les Romains

Shékina chez les kabbalistes

Marie-Madeleine, Myriam, Marie chez les Esséniens et les chrétiens primitifs.

Les écoles des mystères, ces lieux de transmission, conduisaient les femmes à être initiées à des rites significatifs. Elles expérimentaient des états de conscience modifiée, des expériences initiatiques et extatiques, apprivoisaient et humanisaient leur part d’ombre, cette partie psychique cachée de leur personnalité. L’instruction magique de ces rites de passage révélait alors les origines cosmiques de la vie sur Terre, confirmant leur souveraine spiritualité, la déesse en elles !


Le petit livre du féminin sacré Yaël Catherinet- Buk

Date de parution : 07/01/2021- Aux Ă©dition first


35 vues0 commentaire

Comments


bottom of page